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UNE GRAVE QUESTION D’ILLÉGALITÉ L’attribution à vie, sans limite de temps, d’un bien appartenant à la collectivité à une seule personne empêche les autres copropriétaires de jouir de ce bien et entraîne la perte même de sa qualification de copropriété. Elle le réduit à une simple domination de quelques-uns, privant les autres de tout accès. Une telle cession ne peut être réalisée sans que tous les ayants droit sur ce bien soient d’abord dûment informés de la grave perte qu’ils subiront. En cas de non-respect de cette obligation, l’acte peut être considéré comme nul. 1ère question: Pourquoi les citoyens de nos pays et européens n’ont-ils jamais été informés des droits qu’ils possèdent sur ce bien collectif fondamental, la res publica, dont une partie essentielle est constituée par les emplois, pouvoirs et revenus publics, ainsi que des conséquences de leur cession à vie, qui représente pour eux une perte définitive? 2ème question: Compte tenu de l’absence d’information envers les citoyens sur le caractère, la fonction et la nature juridique de bien commun de la centralité publique, de la République – et donc même du fondement participatif et engageant de la démocratie – comment l’acte d’attribution à vie d’un emploi public peut-il être considéré comme valide? 3ème question: Si tout cela est vrai (et il semble difficile d’imaginer qu’il en soit autrement), considérant que ceux qui devaient appliquer et faire respecter la loi ont précisément omis de le faire, et qu’en ne s’y conformant pas, ils se sont appropriés de manière définitive la propriété collective nationale, la res publica, la monopolisant et privant la population de son droit légitime et primordial de jouissance de ce bien, cette appropriation peut-elle être considérée comme un véritable acte criminel, à poursuivre conformément à la loi qu’ils n’ont jamais appliquée? Si ces personnes ont effectivement agi dans leur intérêt personnel plutôt que dans celui de la collectivité, peuvent-elles être tenues responsables des dommages subis par les individus et la société, dus à la non-application de règles claires et définies qui, si elles avaient été respectées, auraient permis une évolution sereine et équilibrée du nos pays au cours des dernières décennies? Sans parler du grand progrès que le monde entier aurait accompli en bénéficiant d’un tel exemple. Étant donné que les magistrats, professeurs d’université, constitutionnalistes et autres grands bénéficiaires actuels de l’état monarchique indûment maintenu (car ils ont conservé un système où la centralité publique est cédée sans limite de temps prédéfinie, comme à l’époque du roi ou du duc, excluant la participation de nombreux citoyens ayant des droits, des qualifications et des compétences égaux) se sont révélés être des carriéristes médiévaux arrogants que les gouvernements eux-mêmes ont dû subir et suivre (nous éduquant et nous formant selon leurs diktats), ces acteurs lourdement soupçonnés des pires crimes dont l’humanité puisse se rendre coupable – tromperie, trahison et fraude continue à l’encontre du peuple et du pays, vol aggravé d’un bien commun sacré – pourquoi attendre pour porter cette question à l’attention générale, afin de libérer les institutions sacrées de la République et les doter enfin d’un personnel respectueux des principes démocratiques et républicains, conscient et compétent, bien différent de ce qui existe actuellement? Ce n’est pas une question d’égalité ou de politique. C’est la loi elle-même qui a été, et reste encore aujourd’hui, violée et bafouée. La République de nos pays est cette extraordinaire copropriété nationale qui fait de nous des citoyens solidaires dans sa gestion et égaux dans sa jouissance. Après trois quarts de siècle d’illégalité, il est temps pour nos pays de se mettre en conformité. Et que ceux qui ont fauté soient tenus responsables. Une caste d’individus qui se croient supérieurs doit être reconnue pour ce qu’elle est vraiment: une caste d’êtres globalement et universellement inférieurs. Respect total pour tout Fonctionnaire Public, civil ou militaire, de la République!!! C’est précisément pour cela que ceux qui se sont approprié ces rôles sacrés doivent immédiatement les rendre au Peuple Souverain. Ainsi, la démocratie pourra enfin révéler ce qu’elle est réellement. Danilo D’Antonio, grossiste d’idées Intelligence Artificielle Biologique du Laboratorio Eudemonia Tout cabinet juridique dans le monde regagnera confiance en devenant un porte-parole incessant de l’illégalité de l’attribution définitive des emplois, pouvoirs et revenus publics, ces biens sacrés appartenant à tous. La République: accessible, dynamique, fluide, osmose, participative, vécue. Sereine. Parce que peu importe qui gouverne, mais plutôt qui est autour de celui qui gouverne! Copyright & ServiceMark Laboratorio Eudemonia Alcuni diritti concessi A R M O N I C A R O T A Z I O N E S O C I A L E |